vendredi 15 octobre 2010, 14 h 06
Des chercheurs américains de l’Université de New York, dirigés par le Dr Michael Ward, ont mis au point une nouvelle technique qui pourrait bloquer la croissance des calculs rénaux, communément appelés pierres aux reins.
En associant deux molécules, ils sont parvenus à freiner l’action de l’acide aminé L-cystine, qui est étroitement lié au développement des calculs rénaux cystiques, particulièrement douloureux et héréditaires.
Ces calculs rénaux sont plus rares que ceux d’oxalate qui représentent de 70 à 80 % des cas. Les calculs cystiques sont plus gros, pouvant atteindre une grosseur de 1 cm. Ils sont très difficiles à enrayer et les traitements présentent plusieurs effets secondaires indésirables.
Toutefois, cette nouvelle méthode devra faire l’objet de différents essais avant d’être exercée à grande échelle.