« Je propose d’organiser un deuxième tour avec tous les candidats le 16 janvier prochain, où celui qui arrivera en tête sera le gagnant », a déclaré M. Martelly, dans la mesure où "tous les candidats sont victimes des fraudes", a-t-il soutenu.
Pour cela, il faut des changements au sein du Conseil électoral provisoire, c’est la condition nécessaire pour redonner confiance dans le processus électoral, selon le candidat.
« Nous ne faisons plus confiance à ces gens », a martelé M. Martelly, qui croit que celui qui sortira des élections n’aura pas la légitimité, ni le respect de la population et de la communauté internationale, sans ces dispositions.
Toutefois, M. Martelly se déclare ouvert à toutes les propositions et encourage tout autre initiative des autorités morales et religieuses, en vue de résoudre la crise.
